gauche. Pour l'observer, on installe un écran blanc sur un cavalier du banc d'optique, on le fait coulisser. Une fois cette image trouvée, on place L2 pour que son foyer image F2 soit confondu avec A1.
III.2) P = 680 d

II étude de l'oculaire. Le montage est "afocal" l'image définitive est à l'infini. a' = A1O2B1

III.1.a) La droite expérimentale passe par l'origine et en conséquence l'équation du modèle mathématique essocié est P = k.D . On calcule k et on trouve k = 53 m-2.

On compare avec l'équation proposée : elle dit que k = C1.C2 = 50 m-2. Ce qui est assez proche de la valeur expérimentale pour être accepté comme identique.

III.1.b) Plus |O1A| est petit plus P est grand. Il faut rapprocher l'objet.

 

1) En formant l'image d'une source lointaine: soleil ou à défaut une lampe à l'autre bout du labo: l'image se forme dans le plan focal image (exactement pour le soleil, très près pour la lampe).

2a) tracer B1O1 et prolonger: ce rayon provient de B et passe par le centre optique

O1: il n'est pas dévié. De B1, on trace, toujours vers la gauche le rayon B1F'1 jusqu'à L1, Il vient de B parallèlement à l'axe optique. On trace ... son intersection avec notre premier tracé détermine B. A se trouve à la perpendiculaire menée de B sur l'axe optique. O1A = -12,5 cm

2.b) mesurons AB = 2,5 cm

algébriquement A1B1/AB = -4

et O1A1/O1A = -4 aux incertitudes de tracé près. ils sont égaux, ces deux rapports, Thalès l'exige et on appelle cela le grandissement g1.

2.c) A1B1 est renversée haut en bas droite à

LUNETTE ASTRONOMIQUE N°4 page 57

G Vielh 2006 niveau 9