us(t) = k . [ s(t) + Uo ] . p(t)

Attachez vos ceintures, c'est parti : on exprime

us(t) = k . {Sm[cos(2pf.t)]+Uo}.Pm. cos(2pF.t)

us(t) = k .Pm.Uo {Sm/Uo[cos(2pf.t)]+1}. cos(2pF.t)

 

en posant A = k .Pm.Uo et m = Sm/Uo

on obtient :

us(t) = A.[m.cos(2pf.t)+1] . cos(2pF.t)

En vert, le terme qui oblige le signal modulé à monter et descendre à la fréquence F.

En jaune, l'amplitude modulée: quand cos(2pf.t) = +1 c'est le sommet des vagues vertes. Quand cos(2pf.t) = -1 c'est le creux des vagues vertes.

;

C'est un composant intégré (une puce quoi) avec deux entrées et une sortie. GBF1 fabrique la porteuse HF. On l'applique sur l'entrée 1.

GBF2 mime le diapason à 440 Hz et on lui ajoute la tension de décalage avec le bouton offset. On applique à l'entrée 2

 

En sortie, on regarde avec l'oscilloscope et on a le signal modulé.

Soit "k" le coefficient de multiplication et us(t) la tension modulée à la sortie du multiplieur. L'équation de transfert du multiplieur est, par définition:

Le MULTIPLIEUR

G Vielh 2006 révision 2007 /08 niveau 9