Le miroir primaire est sphérique: ce n'est donc pas la bonne surface mais on sait la faire dans de bonnes conditions tant techniques qu'économiques.
Pour guérir les tares de sphéricité et de manque de stigmatisme, on dispose d'un ménisque qui corrige ces défauts. Le miroir secondaire est intégré au dos de cette lame.
Bonne qualité générale mais poids important pour les grands diamètres.
Coût : aussi cher qu'un Schmidt Cassegrain et pas meilleur. Le ménisque correcteur est lourd.
L'espace intérieur est exempt de poussière car fermé. Pas d'araignée comme dans le télescope de Newton .
Le miroir secondaire n'est pas plan, l'instrument est compact et transportable dans une mallette.
