Si on a fait les mesures des deux expériences ci-dessus avec les mêmes z, on a la correspondance entre z, t et v. On trace alors v = f(t).
Montrer aussi, en changeant de bille que la masse n'intervient pas dans le phénomène. Confirmer avec le tube de Newton.
ATTENTION:
Les vis de calage, à la base du statif permettent de rendre la règle graduée parfaitement verticale. Sinon la bille d'acier heurte fortement les fourchettes optiques.
Les grosses billes obéïssent parfaitement mais la petite, sans doute à cause d'une aimantation irrégulière d'une partie de l'électroaimant s'obstine à ne pas tomber correctement.
salle N012 table roulante spécialisée
Une bille d'acier est retenue par un électroaimant. En pressant le bouton du lanceur (image du centre) le courant est coupé dans l'électro-aimant et la bille commence sa chute.
Sur le statif (à régler à la verticale avec le fil à plomb) deux fourchettes optiques détectent l'instant où la bille passe. La première commande le départ du chronomètre (image de droite) et l'autre son arrêt.
En plaçant la première fourchette au départ de la bille, on la durée t de chute, on lit la hauteur z sur le statif. En faisant plusieurs mesures avec des z différents, on trace la courbe z = f(t) .
En plaçant les deux fourchettes à 10 cm l'une de l'autre, on accède à la "vitesse instantanée" en fonction de la hauteur de chute. On peut donc tracer v = f(z)