A) Voici les équations d'Einstein qui remplacent les équations de Newton. Elles donnent les anciennes équations de Newton lorsque la vitesse v de déplacement mobile est petite devant c vitesse limite dans l'univers.
La quantité de mouvement
p = m.v = mo . v/(Ö(1-v²/c²)
B) p se conserve pour un système pseudo-isolé.
( somme des forces extérieures = 0)
Si la somme des forces extérieures n'est pas nulle, on l'appelle F
La relation entre la force et le taux de variation de la quantité de mouvement est gardée :
D) Tant que la vitesse v est petite devant c les deux mécaniques donnent les mêmes résultats. Mais lorsque v s'approche de la
vitesse limite "c" , le terme Ö(1-v²/c²) devient très petit et tend vers 0.
La quantité de mouvement continue à croitre alors que la vitesse n'augmente pratiquement plus. C'est l'inertie du mobile qui augmente. Une fois de plus nous retrouvons les résultats expérimentaux de l'expérience de Bertozzi.
m est l'inertie
mo est la masse au repos
E) Finalement, la mécanique classique de Newton trouve sa place bien au chaud dans la maison plus vaste de la relativité restreinte. Elle en est une version approchée de bonne qualité lorsque les vitesses sont petites devant c .
Petit cela va jusqu'à 0,01 c .
Il est peu courant d'avoir des objets se mouvant à une vitesse supérieure à
3.106 m.s-1 .
C) F = d(mv)/dt
Tout comme en mécanique classique (selon Newton) si on fait agir très longtemps la force F sur le mobile, sa quantité de mouvement va augmenter beaucoup mais... alors que la vitesse peut dépasser c en mécanique classique
cela est impossible en relativité (et dans la réalité).