Elles ont l'avantage par rapport aux LDR d'avoir un temps de réponse extrordinaire de l'ordre de 10-9 s. Elles sont qualifiées pour recevoir des informations à haut débit. (télécommade d'appareils, communications entre calculettes ...)

Ce sont elles qui servent dans l'expérience de mesure de la vitesse de la lumière dans le laboratoire.

ATTENTION:

Un composant électronique, cela ne supporte pas d'intensité.

Il faut le protéger par une résistance (R) qui empêchera l'intensité de dépasser quelques milliampères.

Elle se calcule par . . . . . . . UPN = R.I

salle N010 armoire A2 étagère E3

 

photodiode

On alimente la photodiode par une pile montée en inverse. La diode ne laisse pas passer le courant. Lorsqu'elle est dans l'obscurité

Mais si on l'éclaire, elle devient passante.

Aux bornes de la photodiode ou aux bornes de la résistance de protection, on recueille une tension qui dépend de la lumière. Cette tension peut déclencher des dispositifs variés...

À condition d'utiliser un dispositif logique ou un AOP monté en suiveur ou en amplificateur de tension, on peut déclencher par exemple un éclairege, comme avec une LDR mais la photodiode est moins chère.

Elle a un avantage c'est qu'il y a des modèles sensibles en infra rouge et peuvent constituer des barrières de détection de passage invisibles.