L'énergie lumineuse se débite en quantas indivisibles:
L'énergie dépend de la longueur d'onde (ou de la fréquence car ces deux grandeurs sont liées par le relation l = c /n c'est une relation des ondes!)
DE = h . n = h . c / l
h = constante de Planck = 6,626 . 10-34 J.s .
"c" est la vitesse limite dans l'univers c = 2,997 924 58 .108 m.s-1
Albert Einstein proposa que ces quantas étaient vraiment des corpuscules de lumière: les photons. Réconciliant ainsi les deux visages de la lumière: onde et corpuscule.
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Albert Einstein .....................................Max Planck......
A la suite de Newton et du triomphe de ses équations sur le mouvement l'hypothèse de la nature corpusculaire de la lumière a régné en physique jusqu'au milieu du XIX° siècle.
Certes, la diffraction par un cheveu , les interférences par les "trous de Young" n'entrait pas dans le champ de ce modèle mais,
Le prestige du Grand Newton était tel que les "opposants" vivaient dans la clandestinité. Puis, Fresnel et Maxwell on fait exploser le carcan et tous les physiciens à la fin du XIX° siècle ne juraient plus que par les ondes. Le paradigme de la lumière était devenu "ondulatoire" ... Il y avait bien encore un "petit détail" qui ne collait pas:
L'effet photoélectronique montrait clairement que la lumière ne se comportait pas comme une onde dans ce cas. ..................................... Et puis, "la catastrophe ultraviolette":........ Le rayonnement du corps noir résistait à toutes les tentatives d'établissement d'une loi. Pire, en se basant sur le modèle des ondes, on "montrait" que l'énergie rayonnée devenait infinie pour les courtes longueurs d'ondes (l'ultra-violet). C'est Max Planck qui résolut la question en introduisant la nécessité que l'énergie lumineuse s'échange par "quantas"